Et ce qui devait arriver Areva : " 11 03 11 FUKUSHIMA"
Dans sa chronique sur France Inter, pour l'anniversaire de la catastrophe de Fukushima et du tsunami, Sophia Aram veut souffler la bougie posée sur le gâteau. Malheureusement la bougie ne semble pas vouloir s'éteindre (8h55 - 12 mars 2012).
Retrouvez tous les billets de Sophia Aram sur www.franceinter.fr
La curieuse disparition du "MOX" de l'accord Verts-PS - LeMonde.fr" : Le MOx est plus dangereux que l'uranium (fait à partir des déchets nucléaire, il est à base de plutonium (l'intérêt -pour eux- est de fabriquer du combustible nucléaire sans avoir besoin d'uranium naturel)
Areva est le quasi unique producteur de MOx (95%)
Le réacteur n°3 de la centrale de Fukushima "marche" au MOx. Ceci peut expliquer l'inquiétude actuelle au sujet de la piscine de refroidissement.... En effet, le MOx présente la particularité de devoir être refroidit, avant stockage, pendant la durée minimale de 50 ans sans compter que ce combustible entre en fusion beaucoup plus rapidement que l'uranium enrichi.
L'EPR de Flammanvile -France- dont le budget vient de passer de 3 à 6 milliards fonctionnera "au MOx
Ces installations sont censées aboutir à des réactions fonctionnant au Thorium ... si on a le temps ...Afficher la suite"
Déchets, le cauchemar du nucléaire (2009) - Documentaire - L'essentiel - Télérama.fr
Déchets, le cauchemar du nucléaire 1/5
Le réchauffement climatique place la question de la production d'énergie au coeur du débat. Dans ce contexte, l'énergie nucléaire est souvent mentionnée comme une solution d'avenir car maîtrisée et sans impact sur l'environnement. Qu'en est-il du traitement des déchets ? Les scientifiques n'ont pas encore trouvé de solution efficace. Les industriels se veulent rassurants alors que les politiques évitent le sujet. Les documentaristes Michèle Rivasi et Eric Guéret proposent de faire le point sur les méthodes de retraitement utilisées en France, en Allemagne, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis et en Russie. Des scientifiques indépendants en disent davantage. De hauts responsables mais aussi des opposants expriment leur avis sur le traitement des déchets radioactifs.
Déchets : Le cauchemar du nucléaire
Voici une enquête qui allie profondeur historique, ampleur géographique et expertise scientifique. Le réalisateur Eric Guéret et la journaliste Laure Noualhat remontent le temps et la rivière Columbia pour trouver, à Hanford, au nord-ouest des Etats-Unis, « l'endroit le plus contaminé du monde occidental », où furent construites les premières bombes de l'ère nucléaire. Ils reviennent sur les lieux de l'explosion d'une cuve de déchets, en 1957, à Mayak, ville secrète d'Union soviétique...
Dernière étape à La Hague, où le documentaire radiographie le choix très français de retraiter les déchets. Après le silence obstiné des autorités russes et américaines, la courtoisie d'Areva passerait presque pour de la faconde. Jusqu'à ce que les auteurs dénichent un scoop : les déchets produits par nos réacteurs ne sont pas si bien « recyclés » que notre champion du nucléaire le prétend... Preuve à l'appui : des centaines de fûts trouvés en Russie. Enfin, le film prend le temps de questionner l'absence de débat sur l'option du retraitement, en interrogeant des femmes politiques (Michèle Rivasi, Corinne Lepage) et un expert indépendant (Michael Schneider). Au total, une indispensable investigation qui, en sus de ses découvertes glaçantes, invite à la réflexion.
Samuel Gontier
Le grand retour du nucléaire - 1 - ( documentaire )
Le grand retour du nucléaire - 2 - ( documentaire )
Le grand retour du nucléaire - 3 - ( documentaire
l-indigne, Posté le mardi 13 mars 2012 18:32
aubeparanormal a écrit : " "
Oui, la malchance peut être une chance de changer radicalement de système, de sortir du dogmatisme néolibérale.
Mettre en place des énergies libres, alternatives, produits par des citoyens. De facto, avec des mobilisations et des blocages ( ex 60000 personnes pour la chaine humaines dans le Rhone ce weekend), mais aussi mettre en place des actions solidaires et libre.
Car comme pour la lutte contre le racisme, les mouvances xéophobes, il ne suffit pas de s'opposer, il faut aussi dans le même temps mettre des activités et des liens ( entre les mouvements sociaux et citoyens, puisque le consommateur et le travailleurs sont concernés). Ce combat est aussi internationalisé, puisqu'il concerne dans le documentaire : la France, la Russie, les Etats Unis et le Japon, mais aussi d'autres pays non cités.
La question concerne aussi le nucléaire militaire, dont la question de l'armement et des conflits liés aux rapports de forces des pays dans un systèmes néolibéralisme globalisé.