Source citoyenactif
Globalia de Jean Christophe... de Globalia de Jean Christophe Ruffin : « La description de l'économie de Globalia n'est guère précise. On apprend simplement qu'elle est dominée par les monopoles et de ce fait étroitement contrôlée par une poignée de chefs d'entreprises mondiales. L'influence qu'ils exercent collectivement est pratiquement sans limites, au point de déposséder les institutions démocratiques de la réalité du pouvoir. L'abstention lors des consultations électorales est généralisée. Comme l'avoue un député : « Les gens ne se dérangent que pour les élections qui ont un sens » !
Serge Bloch/Dassault "digne" fils de son père (1)
« À côté de l'obsolescence savamment programmée, la publicité, l'endoctrinement du consommateur sont les auxiliaires indispensables de l'ordre marchand. Ils entretiennent une insatisfaction perpétuelle qui pousse continuellement à de nouveaux achats, de nouvelles dépenses. Avoir pour parvenir enfin à être ? – Hélas, on n'aura jamais assez pour être vraiment »Documentaire : Prêt a jeter..., Documentaire ce soir : La... grande invasion
Prêt à jeter - Ready to throw
City de Londres, la finance en eaux troubles ),
http://www.youtube.com/watch?v=L36pRwn4r3Q
Ces chefs d'Etat qui se recyclent dans le business
En cas de défaite à la présidentielle, Nicolas Sarkozy pourra toujours tenter de se reconvertir dans les affaires, en suivant l'exemple de Bill Clinton, José María Aznar, ou encore Tony Blair.
"Je fais ça pendant cinq ans et, ensuite, je pars faire du fric". A de nombreuses reprises, Nicolas Sarkozy a évoqué son envie d'entamer une nouvelle carrière après l'Elysée. Il l'a d'ailleurs confirmé cette semaine, en affirmant qu'il arrêterait la politique s'il était battu en mai prochain. Pour trouver des idées de reconversion, il pourra consulter notre diaporama, qui retrace le parcours de 10 chefs d'Etat et de gouvernement devenus businessmen. Consultant, administrateur, conférencier... les débouchés sont multiples.
Grand admirateur de l'Allemagne, il pourrait, par exemple, s'inspirer de Gerhard Schröder. L'ancien chancelier a rejoint en 2005 un groupe chargé d'un projet de gazoduc, qu'il avait soutenu lorsqu'il était au pouvoir.
Plus discret : Felipe Gonzalez, chef du gouvernement espagnol jusqu'en 1996, aattendu l'an dernier pour lancer son fonds de capital risque. Son successeur, José Maria Aznar, a lui aussi cédé aux sirènes de la spéculation, en occupant, entre autres, un poste de consultant auprès d'un hedge fund britannique.
Dans la finance, les hommes politiques anglo-saxons excellent. Des exemples ? Tony Blair, passé du 10 Downing Street à un rôle de consultant de luxe pour JPMorgan et pour le fonds souverain d'Abu Dhabi. Son prédécesseur, John Major, fût, lui, un temps président de la branche européenne du fonds de capital investissement américain Carlyle.
Moins sulfureux mais tout aussi lucratif, la technique de Bill Clinton : écumer les conférences aux quatre coins de la planète, en facturant ses interventions à prix d'or. Sans oublier la publication de plusieurs livres, qui lui ont rapporté plusieurs dizaines de millions de dollars.
Les chefs d'Etat français, eux, sont absents de ce diaporama. Tout juste peut-on citer Bernadette Chirac, qui a été nommée, en 2010, au conseil d'administration du numéro un mondial du luxe, LVMH. De là à imaginer Sarkozy administrateur chez Bolloré, Lagardère ou Dassault Aviation...
Thomas Le Bars
Complément d'enquête 7 Mai 2015: Dictatures , business et diplomates de l'ombre :
Schengen : Nicolas Sarkozy lâche une bombe européenne pour se relancer http://www.capital.fr/presidentielle-2012
C'est un discours très franchement orienté à droite", a estimé le politologue Roland Cayrol sur LCP et Public Sénat. "C'est une sévère mise en garde à l'Europe (...) C'est une chose qui va probablement causer un certain nombre de problèmes dans le fonctionnement même de l'Union européenne
Voir aussi :
La dictature de l'immédiateté, L'Histoire des Choses, Les Yes Men refont le monde, L'obsession sécuritaire -...Dans la peau de Vladimir...poutine Ni oubli, ni pardon : La Mer à l'aube : Paris : les nervis de Civitas et du GUD attaquent des féministes , Propagande, haine, meurtre , Le populisme au féminin, les indépendistes ont le vent en poupe : , A l'extrême droite du père , Alerte antifasciste : Le Cercle des Volontaires , film tension religieuse attire les tension , « FN, le pire ennemi des salarié-e-s » , Dans ce quartier d'Athènes, les néonazis prospèrent grâce à la crise
Fukushima, un an après", Documentaire Réfutations, A voir d'urgence lol : La...raison d'état., City de Londres, la finance en eaux troubles ),
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globalia : citoyen actif
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l-indigne, Posté le mercredi 14 mars 2012 14:01
aubeparanormal a écrit : " "
Si on pouvait mettre l'obsolescence programmée pour eux, cela serait une bonne chose... Euh, mince, c'est déjà le cas, au bout de 5 ans, c'est inutilisable.
Comme disait Coluche : CeLa politique, c'est pas compliqué, il suffit d'avoir une bonne conscience, et pour cela il faut juste avoir une mauvaise mémoire !" "
"Le gouvernement s'occupe de l'emploi. Le Premier ministre s'occupe personnellement de l'emploi. Surtout du sien."
Mais surtout celle ci : " Les hommes politiques font du show-business, et donc n'importe qui sachant faire du show-business peut faire de la politique."
Michel Colucci, dit Coluche
"L'idéal, c'est quand on peut mourir pour ses idées. La politique, c'est quand on peut en vivre !" Nombre de nos élus ne renieraient pas cette boutade signée Charles Peguy. ( voir Le salaire des élus et hommes politiques
- journal du net)
Et je finit par ma citation :
" La démocratie participative est un concept par ailleurs débile, "sympa, tu as le droit de participer", mais que serait-une démocratie "non-participative", où le citoyen est donc absent ?? Démocratie représentative, celle qu'on connait aujourd'hui, on élit un leader de 60 millions de personnes pour 5 ans est tout aussi improductif"