
LA CRISE et ses RECORDS de bénéfice en 2011 :
Apple + 83 % record
Vivendi + 2,...9 milliards record
Volkswagen +15,4 milliards records
Daimler : + 6 milliards record
Banques USA : 119 milliards records au plus depuis 2006
LVMH : + 3 milliards record
IKEA : + 3 milliard record
TOTAL : + 12,5 milliards record
Porshe : + 59 % record
Publicis : + 14,1 % record
Etc, etc........Afficher la suite
Par : La Grande Manif Du Web
En taule, les traitres!!!
LES 44 FRANCAIS LES PLUS RICHES EXILES EN SUISSE - Le site du Front Syndical de Classe
Le magazine économique helvétique Bilan publie son classement annuel des 300 plus grosses fortunes de Suisse. Surprise: 44 Français « exilés fiscaux » y figurent, pour une fortune estimée à 30 milliards d'euros
Si certains noms sont bien connus du grand public (Famille Peugeot, Benjamin de Rotschild, famille Taittinger, Daniel Hechter, Eric Guerlain... ), la plupart restent mystérieux. Pourtant, presque tous ont fondé ou dirigent de grands groupes de l'hexagone (Chanel, Hermès, Capgemini, Saint Yorre, Seb, Moulinex... ).
Découvrez ci-dessous cette liste, du plus riche au moins fortuné, ainsi que les sociétés dont ils sont - ou ont été - actionnaires ou dirigeants:

Une affaire qui pourrait faire jurisprudence : Vers l'interdiction des licenciements économiques ? Une entreprise rentable pourra-t-elle encore réaliser un plan social ? Réponse de la chambre sociale dela Cour de Cassation le 11 avril.
[a=http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201933954639-l-affaire-viveo-qui-fait-trembler-les-drh-sera-reexaminee-en-avril-298811.php?xtor=EPR-1500-[la_une_soir]-20120306-[s=461370_n=2_c=201_]-1243403@1]L'affaire Viveo, qui fait trembler les DRH, sera réexaminée en avril
La Cour de cassation a reporté sa décision sur le plan social de Viveo, annulé en 2011 par la Cour d'appel de Paris pour absence de motif économique.
Le suspens est prolongé. Mardi 6 mars, la cour de Cassation a reporté le rendu de son arrêt sur le cas du plan social de l'éditeur de logiciels Viveo, une affaire qui donne des sueurs froides aux dirigeants en menaçant de bouleverser les licenciements économiques. Lors de l'audience du 28 février, l'avocat général avait indiqué avoir sollicité l'avis de la Direction générale du travail (DGT) et de l'Association nationale des DRH, ce qui a permis à l'avocat dela CGT, représentant des salariés, d'exiger la réouverture de débats contradictoires. Une nouvelle audience se tiendra le 11 avril.
Un groupe allemand en bonne santé
L'affaire a débuté le 12 mai 2011. La Cour d'appel de Paris, saisie par le comité d'entreprise (CE), a alors annulé le plan social (PSE) de Viveo dès son élaboration, en arguant qu'il ne reposait pas sur un motif économique réel, l'entreprise appartenant à un groupe allemand en bonne santé. Une première qui, concrètement, empêche Viveo de licencier.La Cour de cassation, saisie par Viveo, doit dire si un juge civil est compétent pour se prononcer ainsi sur la motivation d'un PSE.
Jusqu'ici, seul le respect de la procédure (information-consultation du CE, modalités d'aide au reclassement, etc.) pouvait être contesté devant le tribunal de grande instance. Les contestations sur le fond n'intervenaient qu'en aval du PSE, aux prud'hommes, à l'initiative de salariés licenciés. L'employeur pouvait alors être condamné à des dommages et intérêts pour licenciements injustifiés. Mais pas à réintégrer les salariés : le risque en cas de PSE abusif n'était que pécuniaire.
Si la Cour de cassation confirmait l'arrêt Viveo, « cela voudrait dire qu'on valide une autorisation judiciaire des licenciements », prévient Déborah David, avocat pour le compte d'entreprises au cabinet Jeantet. L'inquiétude des employeurs est d'autant plus grande que la justice civile a aussi récemment annulé, pour le même motif, des plans engagés par Ethicon (matériel chirurgical) et par Sodimédical (matériel médical).
Les avocats parient sur une cassation de l'arrêt
Mi-février, Avosial, syndicat des avocats en droit social, a écrit aux candidats à la présidentielle pour s'alarmer de cette « révolution aux conséquences économiques catastrophiques ». Selon lui, elle pousserait les employeurs à privilégier l'emploi précaire et à « attendre d'être dans une situation financière extrême pour licencier, quitte à licencier massivement. »
A l'opposé, la CGTsouligne que c'est la question de la lutte contre les licenciements boursiers qui se joue : « C asser l'arrêt reviendrait à donner carte blanche aux employeurs pour avancer des raisons économiques cousues de fil blanc, sans que personne ne puisse les contrôler ».
Les avocats parient sur une cassation de l'arrêt. De fait, en l'état, le Code du travail ne contient pas de disposition permettant à un juge de conclure à la nullité d'un licenciement en absence de difficultés économiques. Or, un principe du droit veut qu'il n'y ait « pas de nullité sans texte », rappelle Sylvain Niel, du cabinet Fidal. Mais il constate qu'« il reste un problème sur les licenciements boursiers dans les groupes bénéficiaires » et estime que « le législateur devra bien à un moment donné redéfinir ce qu'est un motif de licenciement économique dans un groupe pour s'adapter aux réalités économiques et aux pratiques modernes. »
DEREK PERROTTE
ufo2727dj, Posté le mercredi 07 mars 2012 17:51
ce monde devient pourris pas d'autres mots, et je suis au courant des 44 grand milliardaires ou millionnaires exilés, une honte totale,, et cette crise a été voulues, tous des traitres